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En juin 2014, le Sénégal était le premier pays de l’UEMOA à émettre des Sukuk, les obligations islamiques. Ces titres financiers conformes aux préceptes de la charia, avaient permis au pays de lever avec succès 100 milliards de FCFA sur le marché régional. Quelques années après, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Mali lui emboîtaient le pas avec leurs émissions de Sukuk qui avaient également suscité un réel engouement des investisseurs. Depuis lors plus rien alors que le marché des capitaux islamiques continue d’avoir la cote à l’échelle internationale. En 2019, le montant total des actifs financiers islamiques (banque, marchés financiers, assurance) étaient évalués à 2 440 milliards de dollars selon le dernier rapport 2020 de l’islamic Financial Services Industry Stability. Développer un marché régional de capitaux islamiques est l’un des grands chantiers que porte actuellement le CREPMF. Une ambition qui passe d’abord par la mise en place d’un cadre réglementaire spécialement dédié. La question a été au centre d’un atelier organisé le 20 janvier dernier avec les différents acteurs du marché, une rencontre qui sonne le point de départ du processus de mise en place d’un nouveau cadre juridique devant encadrer ce type d’opération.
(Source: sikafinance.com)
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