Dette des pays pauvres : un accord trouvé pour un cadre commun

[vc_row][vc_column width=”2/3″][vc_column_text]
Qualifié d’« historique » par certains, le compromis trouvé par les ministres des finances du G20 doit permettre de faciliter les opérations de restructuration, avec, in fine, l’objectif de limiter les défauts de paiement. La bonne nouvelle, d’abord : les ministres des finances du G20 se sont accordés, vendredi 13 novembre, sur un nouveau cadre de restructuration de la dette des pays en difficulté. La mauvaise nouvelle, ensuite : en raison de la crise, de la très faible solidarité internationale et de la pénurie de nouveaux financements en direction des Etats pauvres, ces derniers vont être nombreux à devoir restructurer leurs dettes au cours des prochains mois.«L’allégement de la dette se fera dans une plus grande transparence et exigera des efforts au moins comparables des créanciers privés », s’est félicité le ministre français de l’économie et des finances, Bruno Le Maire, qui a qualifié l’accord d’« historique ». Le Club de Paris avait perdu ces dernières années son rôle central dans la restructuration des dettes souveraines, avec la diminution du poids des créances détenues par ses 22 pays membres.[/vc_column_text][vc_btn title=”En savoir plus” color=”success” link=”url:https%3A%2F%2Fwww.lemonde.fr%2Feconomie%2Farticle%2F2020%2F11%2F13%2Fdette-des-pays-pauvres-un-accord-trouve-pour-un-cadre-commun_6059690_3234.html|title:En%20savoir%20plus|target:%20_blank|rel:nofollow”][/vc_column][vc_column width=”1/3″][vc_wp_posts number=”10″][/vc_column][/vc_row]